Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Hmmm, y a qu'du bon ici !!!!!
3 janvier 2008

No Country For Old Men - Atonement

Deux films formidables en ce début d'année, vus à l'étranger à l'occasion des fêtes ! On reparlera certainement de l'un et de l'autre lors des futures remises de récompenses, à Hollywood ou ailleurs. Voir absolument les bandes-annoces, elles sont vraiment représentatives (et pas trop racoleuses)!

Le premier, No Country For Old Men, réalisé par les frères Coen (auxquels on doit déjà Fargo), se révèle très violent et absolument palpitant de bout en bout.

A5

Un chasseur texan (Josh Brolin) découvre par hasard dans le désert un véritable charnier, une camionette remplie de drogue et une valise bourrée de dollars. Il s'empare bien évidemment du magot et part se cacher au Mexique, le temps que les choses se tassent. Mais bien vite il est repéré et pourchassé par un tueur de la maffia ( l'excellent Javier Bardem) et par la police (Tommy Lee Jones). Ca va saigner ferme sur leur passage! Mais ça m'a laissé hors d'haleine et accroché solide jusqu'au bout.

Atonement, ensuite, du réalisateur débutant Anglais Joe Wright, tiré du roman éponyme de Ian McEwan (titre français "Expiation") . Ce dernier était magnifique, et l'adaptation cinéma est vraiment à la hauteur, servie par une interprétation de premier ordre.

A1

Une adolescente de 11 ans, douée pour l'écriture et très imaginative, vit dans la campagne anglaise avec sa riche famille, dont sa soeur (Keira Knightley), qui est amoureuse du jeune homme "à tout faire" du domaine (James McAvoy). Un viol est un soir commis sur sa petite cousine, elle en est le témoin mais sans reconnaître le coupable elle désigne à la police l'amoureux de sa soeur. Le destin de ces trois êtres va en être boulversé.

Ici aussi c'est palpitant, avec la répétition et la confrontation de scènes imaginées par l'adolescente et celles qui sont réelles. On ne sait pas toujours très bien dans lequel des deux univers on se trouve, les coups de théâtre se succèdent et là aussi on reste bien accrochés jusqu'au boulversant et surprenant final. Ce n'est ni romantique ni fleur bleue et on peut vaguement rapprocher ça au Patient Anglais quant au souffle.

Et alors, belle originalité, la bande-son est pour une bonne part rythmée par la "musique" émise par la frappe des touches d'une machine à écrire. 

 

 

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité
Derniers commentaires
Archives
Hmmm, y a qu'du bon ici !!!!!
Hmmm, y a qu'du bon ici !!!!!
Publicité